Sur cette fourchette de 6 à 8 milliards d'euros par an, la fraude contre l'assurance-maladie représente autour de 4 milliards d'euros. Sur cette part, la grande majorité, 80%, vient de professionnels. Quelques exemples : des médecins se font rembourser des actes fictifs jamais réalisés ; des infirmiers déclarent des actes incompatibles entre eux. La Cour des comptes mentionne aussi quelques kinésithérapeutes ou ambulanciers. Et on parle bien là de fraude et non pas d'erreur.
Pétition pour que l'abandon du projet d’autoroute Toulouse Castres A69/A680 soit examiné par l'Assemblé nationale.
sur ces 2.800 milliards, 1.000 milliards ont été transférés vers des paradis fiscaux, soit 35% des profits réalisés à l’étranger
Par exemple, la France verse presque 200 milliards d’euros par an «d’aide aux entreprises» et autres niches fiscales, soi-disant pour soutenir les patrons, les aider à embaucher, à «innover» et autres foutaises de sauvegarde de l’emploi. En clair, les patrons touchent des aides publiques mais planquent leur profit privés : double escroquerie, gagnants à tous les coups !
Un SMICard paie quasiment 50% de taxes et autres impôts quand un milliardaire n’en paie que 26%.
Que tirer de cette expérience ? Jamais auparavant je n’avais touché d’arme. Je regrette de n’avoir pas chronométré le temps passé arme en mains, au cours de ma formation et de l’examen : après mûre réflexion, une heure à tout casser. Quant aux cibles à abattre, mon bilan laisse peu de place au doute : 22 tentatives, 22 échecs. Ce n’est pourtant pas faute d’avoir essayé.
L’interdiction de l’Abaya n’a calmé personne selon Waly Dia : « En France, l’Abaya, ça ne couvre pas que le corps des femmes mais aussi la réforme la retraite. »
"Ils arrivent à tout relier à Samuel Paty, sauf l'argent du fond Marianne".
Tout abus d'@YLeBolloch peut nuire gravement à la santé d'une machine à propagande, même bien huilée.
Intervention de François Ruffin devant l'assemblé national.
Le gouvernement essaie de nous faire peur avec les terribles déficits qui mettraient en péril notre système de #retraites,
alors pour vous aider à y voir plus clair dans la valse des milliards, on vous rappelle quelques ordres de grandeurs ⤵️
Je partage comme souvent les conclusions de Grise Bouille.
Le saviez-vous : il n'y a pas de surmortalité significative des policiers. Les policiers risquent moins leur vie, que, par exemple, les éboueurs, les facteurs, les cheminots, les serveurs, les ouvriers...
Une question d'éthique journalistique commence à se poser très sérieusement: comment est-il possible qu'AUCUN journal ne dise la réalité sur l'erreur monumentale commise à nouveau par le chef de l'Etat, depuis début janvier?
7 semaines…
50 jours demain
[...]
10/ "En quelques jours, l'exécutif a changé de discours. « Inquiétude » , « situation très fragile » , « rien n'est exclu » , entend-on. « La montée des eaux est préoccupante »"
Non. L'exécutif a nié les faits pendant 7 semaines qui n'ont été mises à profit pour… rien.
"En même temps" il n'a jamais été dis dans quel sens fonctionne le ruissellement !
Petite mise au point sur Jean-Michel Blanquer
On parle de radicalisation, mais regardez qui est radical !
Regardez où sont les gens qui refusent le dialogue.
Ils sont au gouvernement, ils sont au pouvoir!
Extrême-gauche devient ➡ Ultra-gauche
La gauche ➡ l'extrême-gauche
Le Centre ➡ la gauche
Droite ➡ la République
Extrême-droite ➡ "ni droite ni gauche, juste pragmatique"
Nazi ➡ "ils ont du culot"
C'est comme cela qu'avance le fascisme. A petit pas en commençant par le changement du vocabulaire pour changer les esprits.
Propos d'un avocat de policier sur BFMTV.
Toute cette merde ressemble de moins en moins à une bande d'imbéciles qui ne savent pas ce qu'ils font, et de plus en plus à une bande de fascistes qui jouent aux cons pour qu'on ne se méfie pas
Bon après je dis pas qu'ils sont compétents mais le monde n'est pas une méritocratie
Et bon qu'on se méfie pas, c'est un peu le principe du fascisme
C'est révolutionnaire et c'est important de comprendre pourquoi.
Ca peut paraitre évident à ceux qui sont familiers de la macroéconomie, mais il se trouve que tout le monde ne l'est pas (!).
Alors petit #thread explicatif, en espérant que ça donne des idées aux partis français...
La politique monétaire des banquiers centraux perd tout le monde, même les spécialistes de la question.
Je vais donc en remettre une couche. Comprenez-en bien les enjeux, il en va de la paix sociale !
le Sénat vient de voter une amnistie pour tous les élus (y compris ministres),
les employeurs et des fonctionnaires quand ils auront pris certaines décisions ayant conduit à la contamination de personnes !
Sachant que cette loi est rétroactive et s'applique depuis le début de l'état d'urgence sanitaire.
A Toulouse, une jeune femme a été placée en garde à vue pendant plusieurs heures pour avoir mis une banderole "Macronavirus, à quand la fin ?" sur sa maison.
Ce lundi, tous ses colocataires sont à leur tour convoqués au commissariat, tandis que les manifestations de soutien se multiplient.
Petit rappel utile sur les raisons de l'état actuel de la médecin en France (et dans pas mal de pays d'Europe dont l'Italie).
Conclusion :
(a) on aurait pu éviter le pis-aller du confinement général en testant en masse au départ ;
(b) cela n'a pas été possible parce que le gouvernement n'avait pas anticipé la production massive de tests ;
(c) le gouvernement est donc responsable de ce merdier.
[...]
Gouverner, c'est choisir. L'Histoire retiendra que l'on n'a jamais manqué de balles en caoutchouc pour éborgner et terroriser les gens qui manifestaient pour réclamer une vie meilleure, alors qu'on était à poil au niveau des masques face à la pandémie du siècle.
[...]
Tout ceci se produit sur fond d'un certain passif. Signer d'entrée de jeu un chèque aux milliardaires en supprimant l'ISF tout en refusant obstinément à l'hôpital public un plan d'investissement à la hauteur pendant 2 ans signe un certain ordre de priorités.
Et c'est ainsi que dans le 6è pays le plus riche au monde, des soignants désespérés en viennent à appeler aux dons pour avoir des masques ou des blouses. Des masques. Des blouses… Quelle misère.
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Cette décision, consciente et assumée, traduit un travers de classe : en bons bourgeois, ils ont tenu pour quantité négligeable les classes populaires laborieuses et ont estimé qu'on pouvait bien continuer à les envoyer au charbon.
La violence sociale de cette décision est incroyable. Des planqués qui ont tout raté envoient des gens sans protections au front en applaudissant leur "courage" et leur "héroïsme". Ignoble, terrible barrière de classe.
[...]
Puisse la crise du Covid-19 nous rappeler cette leçon historique : lorsqu'il s'agit de faire mourir des gens en masse, le plus prolifique des tueurs en série n'est rien face au bureaucrate autosatisfait. L'arme la plus meurtrière sur Terre reste un stylo tenu par un col blanc.
La mise à mort du service public, entreprise poursuivie avec acharnement par tous les libéraux qui se sont continûment succédés au pouvoir depuis trente ans, mais portée à des degrés inouïs par la clique Macron-Buzyn-Blanquer-Pénicaud et tous leurs misérables managers, n’est pas qu’une mise à mort institutionnelle quand il s’agit du service public de la santé — où les mots retrouvent leur sens propre avec la dernière brutalité. En décembre 2019, une banderole d’hospitaliers manifestants disait : « L’État compte les sous, on va compter les morts ». Nous y sommes.
Encore un excellent texte de Frédéric Lordon, cette fois sur le coronavirus et les conséquences des politiques de casse du service public.
La question est d'autant plus prégnante que dans le Figaro, un "haut représentant patronal" propose... de ramener les congés payés à deux ou trois semaines, du moins cette année : "Si c’est nécessaire pour limiter les conséquences économiques de la crise sans précédent que nous traversons en ce moment, les Français pourraient renoncer à deux à trois semaines de vacances en juillet et août. En tout cas, cela ne me choquerait pas".
Que ça soit à l’Assemblée nationale ou dans la culture - marre de se cacher, de simuler la gêne. Vous exigez le respect entier et constant.
Ça vaut pour le viol, ça vaut pour les exactions de votre police, ça vaut pour les césars, ça vaut pour votre réforme des retraites. C’est votre politique : exiger le silence des victimes.
Ça fait partie du territoire, et s’il faut nous transmettre le message par la terreur vous ne voyez pas où est le problème. Votre jouissance morbide, avant tout. Et vous ne tolérez autour de vous que les valets les plus dociles.
Il n’y a rien de surprenant à ce que vous ayez couronné Polanski : c’est toujours l’argent qu’on célèbre, dans ces cérémonies, le cinéma on s’en fout. Le public on s’en fout. C’est votre propre puissance de frappe monétaire que vous venez aduler. C’est le gros budget que vous lui avez octroyé en signe de soutien que vous saluez - à travers lui c’est votre puissance qu’on doit respecter.
[...]
Si le violeur d’enfant c’était l’homme de ménage alors là pas de quartier : police, prison, déclarations tonitruantes, défense de la victime et condamnation générale. Mais si le violeur est un puissant : respect et solidarité.
Après deux mois de débats, un représentant LREM l'avoue enfin : oui, Macron a menti sur la retraite des agriculteurs.
Tous les agriculteurs n'auront pas droit aux 1000€ minimum.Comment peuvent-ils se regarder dans une glace ?
Ce texte explique posément beaucoup de choses sur la "société de consommation" dans laquelle nous vivons.
À Radio France, Sibyle Veil demeure comme un piquet, statufiée. Belloubet, elle, ne connaît qu’un léger décrochage de mâchoire inférieure, et la même inertie. Le directeur du Mobilier national choisit le déni massif de réalité, et continue son discours, comme les directeurs d’hôpitaux.
Que se passe-t-il à l’intérieur de ces personnes ?
Se passe-t-il seulement quelque chose ?
Y a-t-il des pensées ? Si oui lesquelles ?
En fait, comment peut-on résister au-dedans de soi à des hontes pareilles ?
Que ne faut-il pas dresser comme murailles pour parvenir à se maintenir aussi stupidement face à des désaveux aussi terribles ?
Comment ne pas en contracter l’envie immédiate de disparaître ?
Comment continuer de prétendre diriger quand les dirigés vous signifient à ce point leur irréparable mépris ?
Quel stade de robotisation faut-il avoir atteint pour ne plus être capable de recevoir le moindre signal humain ?Et de nouveau : qui sont ces gens ? Qu’est-ce que c’est que cette humanité-là ?
There is no alternative!
Le ministère de l’intérieur, chargé d’organiser les élections municipales, a décidé de changer les règles pour calculer le score de chaque parti politique au soir des résultats... Et il a sorti l’effaceur : 96% des communes ne seront pas prises en compte dans les résultats nationaux. Ce qui pourrait bien grossir artificiellement les scores du parti présidentiel.
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Pour comprendre, nous avons repris les résultats des dernières élections, les européennes. En France, sur les 34 listes candidates, le Rassemblement National est arrivé premier (23,3%), devant La République en Marche (22,4%). Mais si l’on ne regardait que les communes de plus de 9000 habitants, le parti présidentiel arriverait en tête (24,2%)… presque 5 points devant le RN (19,4%) !
Le gouvernement veut « faire taire tous ceux qui mènent des actions symboliques contre le système de l’agriculture industrielle », dénoncent de multiples défenseurs de l’agriculture paysanne et biologique, réunis dans cette tribune. Ils s’inquiètent fortement de la création de la cellule de renseignement Demeter, lancée fin octobre, soi-disant destinée à lutter contre l’« agribashing ».
Cet article fait écho a celui Lordon sur la violence légitime.
ls auront matraqué des personnes âgées, frappé des handicapés en chaise roulante, tiré au LBD sur des ados, agenouillé des classes entières, lancé des grenades à l’intérieur des appartements, tué une vieille dame — et puis bien sûr visé les yeux, lancé les GLI-F4 en cloche, arraché des mains. Ils auront tout fait — la police de Macron. Maintenant la haine de la population est sortie, et elle ne rentrera pas de sitôt dans le tube. Sa légitimité est constituée, entière, incontestable. La population hait la police et personne ne pourra lui dire qu’elle n’a pas raison.
Qu’on trouve surreprésentés des individus violents à l’embauche des institutions de la violence, il ne devrait y avoir là rien pour étonner. Toute la question est celle de savoir ce que les institutions de la violence font de leurs violents.
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Si le macronisme restera dans l’histoire comme la bascule dans l’État policier, c’est parce qu’à la prérogative exorbitante, il aura au contraire ajouté les autorisations exorbitantes : faites ce que vous voulez.
Dans une période où les USA sont dirigés par Trump, le Brésil par Bolsonaro et le Royaume-Uni par Boris Johnson, on pourrait s’estimer “heureux” d’avoir comme chef d’Etat une personne comme Macron, celui-ci pouvant apparaitre comme moderne et mesuré face aux caricatures précédemment citées .
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Mais c’est en cela qu’il est si dangereux. Car oui, depuis deux ans et demi, Macron mène une politique ultra-autoritaire : opposants politiques mutilés, tués ou emprisonnés, journalistes et observateurs des droits de l’Homme agressés et persécutés juridiquement, [...]
Plus personne ne s’étonne de voir des centaines de policiers équipés d’armes de guerre dans les rues de nos villes. La norme est désormais placée du côté d’une vie régie par des cadres autoritaires.
[...]
Le pouvoir politique peut évidemment continuer d’arborer ses fétiches démocratiques – suffrage universel, pluralité des partis politiques, séparation des pouvoirs, laïcité – mais si l’état néolibéral moderne est, par certains côtés, très éloigné du fascisme historique du 20è siècle, il dispose de moyens de contrôle et de coercition arbitraires incomparables qu’il mobilise déjà contre ses opposants. Après deux ans et demi de pouvoir Macron, le fameux barrage du second tour de l’élection présidentielle apparaît de plus en plus comme un mariage.
Dans ce discours -traduit en intégralité dans notre vidéo en tête d'article- l'élue new-yorkaise a démontré grâce à un petit jeu de rôle à quel point il était facile de contourner les lois sur le financement des élections aux États-Unis, sans pour autant tomber dans l'illégalité.
"Nous ne nous habituerons jamais au manque de respect des interventions du Rassemblement National, ce parti qui ne se caractérise pas par ses valeurs républicaines, ni par sa tolérance".
Retrouvez l’integralité de mon intervention ce vendredi 15 novembre au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.Quand vous avez pris le soin d'attaquer une maman devant ces enfants, c'est un fait d'arme qui est glorieux, vraiment. La prochaine fois vous allez piquer un goûter à un gosse par ce qu'il n'est pas de la bonne religion ?
[...]
Ceci est misérable et sordide.
Une version coupé pour tenir en 2 minutes : https://twitter.com/Ehllian/status/1195822558895124481
when politicians resort to blaming immigrants
You know they've run out of excuses
Selon cette étude, l'immense majorité des patients ont bel et bien leur place aux urgences. Seuls 6% des malades se présentent aux urgences de manière inappropriée.
Selon cette étude, l'engorgement des urgences n'est donc pas à chercher du côté des patients. "Le problème de l'engorgement des urgences n'est pas justement dans ces consultations-là", indique Diane Naouri. "Il est beaucoup plus dans une question de l'aval. (...) Il est plutôt sur une inadéquation entre la demande et notre difficulté à avoir des lits d'hospitalisation pour des patients."
Surtout quand on sait, par exemple, que 100 000 lits ont été supprimés ces vingt dernières années dans les services d'urgence.
Est-ce vraiment le monde que nous voulons ?
Cette société sans contact, cette société qui a peur de la parole et de l’engagement physique des uns avec les autres est une société déprimée, qui ne s’aime pas.
Il est permis d’en vouloir une autre.
Elle commence par interdire la reconnaissance faciale.
Le groland tape encore très juste.
Macron président des riches : quand @LesEchos ne montrent que ce qui les arrangent.
A gauche, le schéma de l'@IPPinfo sélectionné par @LesEchos & repris par @dseux sur @franceinter.
A droite, le schéma oublié par @LesEchos qui montre pourtant que le top 0,1% est le grand gagnant.
La technique très classique du graphique tronqué
Quand on écoute un homme politique parler, il faut toujours voir ce qu'il met en premier, ce qu'il met en second. Par exemple si quelqu'un vous dit "la liberté c'est bien, mais la sécurité ça compte" vous pouvez être sur que ce dont il parle c'est la sécurité.
[...]
quel est au fond ce pays, quel est cet état qui pour encadrer une manifestation totalement pacifique utilise des armes de guerre
[...]
Si vous sortez de ce domaine, consistant à dire qu'avant l'acte violent il n'y a rien mais qu'après l'acte violent vous pouvez les retrouver et les punir [...] vous rentrez dans un domaine où on assure la pacification apparente de la société par un contrôle administratif presque total, ça s'appelle le totalitarisme.
But the second half of the 20th century was mostly a victory for the low-tax side. [...]
Politicians cut every tax that fell heavily on the wealthy: high-end income taxes, investment taxes, the estate tax and the corporate tax.
The justification for doing so was usually that the economy as a whole would benefit.The justification turned out to be wrong.
The wealthy, and only the wealthy, have done fantastically well over the last several decades.
Sur l'usine #Lubrizol à #Rouen, le Ministre de l'Agriculture nous donne une belle leçon de rhétorique : l'art de parler fort... sans rien dire !
Fabien (1), 33 ans, est un pompier professionnel de Rouen. Depuis jeudi, il a passé environ quarante heures sur le site incendié de Lubrizol. «Et aujourd’hui, on me dit que mes propres résultats d’analyses me sont inaccessibles, qu’elles doivent rester confidentielles, s’alarme-t-il. Comment voulez-vous qu’on ne devienne pas paranos ?»
C’est une conséquence de l’obligation d’instruire les enfants dès l’âge de 3 ans, au lieu de 6 ans.
C'est même vraisemblablement la raison principale de cette obligation, détourner encore plus d'argents vers les écoles privés.
D'ailleurs appeler "privés" des écoles vivant principalement sur nos impôts c'est quand même très fort !