13 private links
Les conséquences magnifique des délégations de services public à des entreprises à but lucratives.
C'est tellement vrai qu'il est important de préciser que c'est un compte parodique.
Avec du RISCV devant.
Un bot pour gérer les problèmes de merge quand plusieurs merge requests sont acceptés en même temps. Le bot va créer une queue et appliquer les MR l'une après l'autres (en vérifiant que les tests passent).
Quelques propriétés sympa de quelques fonctions mathématique.
Le sentiment de gêne persistante que certains députés LREM sont toujours en stage et ont décroché la timbale pour 5 ans à la faveur d’une vague électorale..
Membre de la commission de la défense et des forces armées quand même
Oh no… robots are taking our jobs…
The problem is not robots.
The problem is we require money to live, require jobs to obtain money, and worship a 40-hr week.
If we provided enough money to live in the form of #BasicIncome and redefined full-time, we could embrace automation.
Une petit remarque, ce n'est pas un "manque à gagner" pour le fisc mais du vol pur et simple de l'état par les entreprises privés.
Comme toujours, le capitalisme encourage à la maximisation des profils, légalement ou non.
Qui fait le plus de blessés et de mort en France depuis 2000 : le terrorisme ou la chasse ?
Le fait que les villes françaises soient faites majoritairement pour les voitures est un choix politique.
Autrement dit, si l'Etat n'avait pas privatisé, il aurait aujourd'hui amassé en dividendes la même somme que celle perçue grâce à la privatisation. A ceci près que, par la suite, il aurait continué de percevoir les dividendes qui vont désormais lui échapper pendant des décennies
Depuis septembre, les patrons autrichiens peuvent demander à leur personnel de travailler jusqu’à 12 heures par jour, et 60 heures par semaine – contre 10 et 50 auparavant. Cet allongement de la durée maximale du travail résulte d’une loi de flexibilisation, avec laquelle le gouvernement du conservateur Sebastian Kurz, en coalition avec l’extrême droite du FPÖ
Une confirmation de plus que l'extrême droite ne défend jamais les travailleurs mais uniquement les patrons.