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ls auront matraqué des personnes âgées, frappé des handicapés en chaise roulante, tiré au LBD sur des ados, agenouillé des classes entières, lancé des grenades à l’intérieur des appartements, tué une vieille dame — et puis bien sûr visé les yeux, lancé les GLI-F4 en cloche, arraché des mains. Ils auront tout fait — la police de Macron. Maintenant la haine de la population est sortie, et elle ne rentrera pas de sitôt dans le tube. Sa légitimité est constituée, entière, incontestable. La population hait la police et personne ne pourra lui dire qu’elle n’a pas raison.
Qu’on trouve surreprésentés des individus violents à l’embauche des institutions de la violence, il ne devrait y avoir là rien pour étonner. Toute la question est celle de savoir ce que les institutions de la violence font de leurs violents.
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Si le macronisme restera dans l’histoire comme la bascule dans l’État policier, c’est parce qu’à la prérogative exorbitante, il aura au contraire ajouté les autorisations exorbitantes : faites ce que vous voulez.
Dans une période où les USA sont dirigés par Trump, le Brésil par Bolsonaro et le Royaume-Uni par Boris Johnson, on pourrait s’estimer “heureux” d’avoir comme chef d’Etat une personne comme Macron, celui-ci pouvant apparaitre comme moderne et mesuré face aux caricatures précédemment citées .
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Mais c’est en cela qu’il est si dangereux. Car oui, depuis deux ans et demi, Macron mène une politique ultra-autoritaire : opposants politiques mutilés, tués ou emprisonnés, journalistes et observateurs des droits de l’Homme agressés et persécutés juridiquement, [...]
Plus personne ne s’étonne de voir des centaines de policiers équipés d’armes de guerre dans les rues de nos villes. La norme est désormais placée du côté d’une vie régie par des cadres autoritaires.
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Le pouvoir politique peut évidemment continuer d’arborer ses fétiches démocratiques – suffrage universel, pluralité des partis politiques, séparation des pouvoirs, laïcité – mais si l’état néolibéral moderne est, par certains côtés, très éloigné du fascisme historique du 20è siècle, il dispose de moyens de contrôle et de coercition arbitraires incomparables qu’il mobilise déjà contre ses opposants. Après deux ans et demi de pouvoir Macron, le fameux barrage du second tour de l’élection présidentielle apparaît de plus en plus comme un mariage.
Dans ce discours -traduit en intégralité dans notre vidéo en tête d'article- l'élue new-yorkaise a démontré grâce à un petit jeu de rôle à quel point il était facile de contourner les lois sur le financement des élections aux États-Unis, sans pour autant tomber dans l'illégalité.
"Nous ne nous habituerons jamais au manque de respect des interventions du Rassemblement National, ce parti qui ne se caractérise pas par ses valeurs républicaines, ni par sa tolérance".
Retrouvez l’integralité de mon intervention ce vendredi 15 novembre au Conseil régional de Bourgogne-Franche-Comté.Quand vous avez pris le soin d'attaquer une maman devant ces enfants, c'est un fait d'arme qui est glorieux, vraiment. La prochaine fois vous allez piquer un goûter à un gosse par ce qu'il n'est pas de la bonne religion ?
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Ceci est misérable et sordide.
Une version coupé pour tenir en 2 minutes : https://twitter.com/Ehllian/status/1195822558895124481
when politicians resort to blaming immigrants
You know they've run out of excuses
Selon cette étude, l'immense majorité des patients ont bel et bien leur place aux urgences. Seuls 6% des malades se présentent aux urgences de manière inappropriée.
Selon cette étude, l'engorgement des urgences n'est donc pas à chercher du côté des patients. "Le problème de l'engorgement des urgences n'est pas justement dans ces consultations-là", indique Diane Naouri. "Il est beaucoup plus dans une question de l'aval. (...) Il est plutôt sur une inadéquation entre la demande et notre difficulté à avoir des lits d'hospitalisation pour des patients."
Surtout quand on sait, par exemple, que 100 000 lits ont été supprimés ces vingt dernières années dans les services d'urgence.
Est-ce vraiment le monde que nous voulons ?
Cette société sans contact, cette société qui a peur de la parole et de l’engagement physique des uns avec les autres est une société déprimée, qui ne s’aime pas.
Il est permis d’en vouloir une autre.
Elle commence par interdire la reconnaissance faciale.
Le groland tape encore très juste.
Macron président des riches : quand @LesEchos ne montrent que ce qui les arrangent.
A gauche, le schéma de l'@IPPinfo sélectionné par @LesEchos & repris par @dseux sur @franceinter.
A droite, le schéma oublié par @LesEchos qui montre pourtant que le top 0,1% est le grand gagnant.
La technique très classique du graphique tronqué
Quand on écoute un homme politique parler, il faut toujours voir ce qu'il met en premier, ce qu'il met en second. Par exemple si quelqu'un vous dit "la liberté c'est bien, mais la sécurité ça compte" vous pouvez être sur que ce dont il parle c'est la sécurité.
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quel est au fond ce pays, quel est cet état qui pour encadrer une manifestation totalement pacifique utilise des armes de guerre
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Si vous sortez de ce domaine, consistant à dire qu'avant l'acte violent il n'y a rien mais qu'après l'acte violent vous pouvez les retrouver et les punir [...] vous rentrez dans un domaine où on assure la pacification apparente de la société par un contrôle administratif presque total, ça s'appelle le totalitarisme.
But the second half of the 20th century was mostly a victory for the low-tax side. [...]
Politicians cut every tax that fell heavily on the wealthy: high-end income taxes, investment taxes, the estate tax and the corporate tax.
The justification for doing so was usually that the economy as a whole would benefit.The justification turned out to be wrong.
The wealthy, and only the wealthy, have done fantastically well over the last several decades.
Fabien (1), 33 ans, est un pompier professionnel de Rouen. Depuis jeudi, il a passé environ quarante heures sur le site incendié de Lubrizol. «Et aujourd’hui, on me dit que mes propres résultats d’analyses me sont inaccessibles, qu’elles doivent rester confidentielles, s’alarme-t-il. Comment voulez-vous qu’on ne devienne pas paranos ?»
C’est une conséquence de l’obligation d’instruire les enfants dès l’âge de 3 ans, au lieu de 6 ans.
C'est même vraisemblablement la raison principale de cette obligation, détourner encore plus d'argents vers les écoles privés.
D'ailleurs appeler "privés" des écoles vivant principalement sur nos impôts c'est quand même très fort !
Interview de Pablo Servigne en direct le 23/02/2018 à 19h.
Non seulement nous ne ferons pas barrage, mais par ailleurs nous refusons tout net la responsabilité du désastre annoncé.
Pour le dire de manière plus imagée : nous n’irons pas essuyer les traces de freins que vos étrons médiatiques auront laissé au fond des chiottes de la soi-disant « démocratie » représentative. Vous salissez : vous nettoyez.
[...]
L’histoire nous jugera, oui, et surtout l’histoire vous jugera. Elle jugera quelles étaient les puissances à l’œuvre, quels étaient les rapports de force de l’époque, qui avait le pouvoir d’agir dessus, qui ne l’a pas fait et, surtout, qui l’a fait pour favoriser le désastre. Nous ne transpirons pas à cette idée. Et vous ?
Conclusion : c'est bien mais largement insuffisant.
Pour aller signer c'est : https://www.referendum.interieur.gouv.fr/
Pourquoi est-ce que le fichage généralisé est toujours une super idée !