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Et un petit cadeau de seulement 800 millions d'euros par ans aux plus riches
Can civilisation prolong its life until the end of this century? “It depends on what we are prepared to do.”
He fears it will be a long time before we take proportionate action to stop climatic calamity.
“Standing in the way is capitalism. Can you imagine the global airline industry being dismantled when hundreds of new runways are being built right now all over the world? It’s almost as if we’re deliberately attempting to defy nature. We’re doing the reverse of what we should be doing, with everybody’s silent acquiescence, and nobody’s batting an eyelid.”
Maintenant on peux acheter de la nourriture à crédit ?
Je n'aime pas du tout le titre (très putaclic) mais le sujet est très bien et justement traité
je suis toujours amusée de voir les français lower ou middle class rêver à ce que la droite va leur laisser sur leur compte en banque une fois que les cheminots (et les autres, juste derrière) seront brisés.
Il est intéressant de noter que la principale raison du Brexit vient du fait que les Anglais sont particulièrement mécontent de leur système (de santé, de transport sur rail, de leurs routes, ...) qui est particulièrement inefficace depuis qu'il est privatisé.
La concurrence est matériellement impossible dans le ferroviaire, car il est impossible de faire passer 2 trains à la même heure sur les mêmes rails!
«Ces ouvrages hydroélectriques sont amortis, il y a beaucoup d’argent à se faire.
On voudrait disséminer ce patrimoine entre les mains d’acteurs qui auront pour priorité d’engranger des profits là où il nous faut une logique d’intérêt général et une maîtrise publique pour mener à bien la transition énergétique»
Bruno Poncet à propos de l'expression "prise en otage" pour parler des grèves :
Moi j'étais au bataclan donc moi aujourd'hui les discutions de preneur d'otage et de terroriste je sais ce que c'est, alors
autour de cette table on parle du statu de cheminot alors je trouve que c'est un peu déplacé.
La fin de l'assurance chômage.
Le Gorafi est maintenant un média tout à fait sérieux.
La rhétorique est bien rodée.
Un : ne jamais reconnaître avoir bénéficié d’un avantage fiscal, sinon du bout des lèvres et comme une maigre compensation, avant de demander une réduction beaucoup plus importante.
Deux : toujours se plaindre des « charges » écrasantes pesant sur les entreprises. Ce discours patronal porte ses fruits : les mesures fiscales favorables s’accumulent... sur le dos de la collectivité
Du renomage des services-public et des entreprises
obligations de rentabilité + tarification à l'acte => pressions pour prescrire plus d'actes (y compris inutiles) => augmentation des dépenses de santé