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- G.Peltier : «Il faut supprimer les billets gratuits des cheminots !»
- Un auditeur : «En tant que député, vous avez aussi des billets gratuits »
- G.Peltier : «Ne cédons pas à la démagogie...»
Comment modifier profondément la loi sur la vie privés ? Simplement en ajoutant un article à un projet de loi n'ayant strictement aucun rapport et espérer que cela passe inaperçu parmi plus de 2232 pages. Évidement, ça marche !
Les fascistes :
«on va te défoncer ta sale race de gauchiste, on est du Bastion social».
Commentaire de la police :
«Sortez à plusieurs», siffle un policier avant de monter en voiture.
Entre eux, ils les surnomment «gaucho numéro 1», «gaucho numéro 2».
Jusqu’à six, donc.
Pour moi, ce que les personnes expriment quand elles utilisent ce terme, "lobby LGBT", c’est :
Je ne suis pas homophobe mais que vous vous serriez les coudes me gêne.
C’est suspect. Et qu’importe si votre groupe empêche des jeunes de 26 ans
de sauter dans un canal avec un sac à dos plein de cailloux, ça me gêne.
Régulièrement, j’observe des voitures et scooters qui, au passage piéton, forcent le passage, accélèrent, klaxonnent.
À chaque fois, je me pose la question: qu’est-ce qui fait que nous devenions des connards avec un volant à la main ?
Alors, trop, c’est trop, cessons ces accusations.
Emmanuel n’est pas du tout le Président des riches,
c’est un humaniste au grand cœur qui aime
profondément les pauvres.
Même ceux et celles dont il cause la pauvreté. Tous et toutes.
Une cartographie assez complète de l'extrême droite française.
La fin de l'assurance chômage.
De l'usage de la sobriété dans le design technologique.
Le Gorafi est maintenant un média tout à fait sérieux.
La croissance économique, c'est important mais elle doit être équilibrée
avec d'autres aspects de la vie, y compris la culture, la spiritualité, l'héritage
et aussi l'environnement.
La rhétorique est bien rodée.
Un : ne jamais reconnaître avoir bénéficié d’un avantage fiscal, sinon du bout des lèvres et comme une maigre compensation, avant de demander une réduction beaucoup plus importante.
Deux : toujours se plaindre des « charges » écrasantes pesant sur les entreprises. Ce discours patronal porte ses fruits : les mesures fiscales favorables s’accumulent... sur le dos de la collectivité